Un réajustement social comme effet secondaire de la COVID-19?

La COVID-19 a eu de nombreuses conséquences sur nos vies, celles de nos proches et celles de nos concitoyens. Avec près de 700 000 cas au Canada, c’est tout un pays qui a dû s’ajuster et faire preuve de résilience pour que la population puisse continuer de se nourrir, de se faire soigner, mais aussi de produire, de vendre et de consommer, bref de fonctionner en tant que société.  Notre gouvernement a réagi promptement et efficacement pour limiter le nombre de cas et faire en sorte que le bilan de cette pandémie ne soit plus catastrophique encore qu’il ne l’est aujourd’hui.

Mais si, malheureusement, un nombre de décès bien trop élevé est à déplorer, une chose est sûre, les conséquences de cette épidémie ne se limiteront pas à ce bilan, loin s’en faut.
Ce sont les sociétés du monde entier qui ont dû s’ajuster et se réorganiser pour faire face à ce fléau planétaire. Le mot d’ordre de l’année 2020 est sans contredit « résilience ».

Si le confinement a forcé, et force encore, la société à fonctionner au ralenti durant plusieurs mois, il fallait bien reprendre les activités des industries pour éviter la banqueroute. Mais le faire de manière sécuritaire et acceptable pour les employés sans aggraver une situation déjà inquiétante impliquait nécessairement une réorganisation complète du monde du travail.
Bien des entreprises, qui jusque-là, refusaient le télétravail n’ont eu d’autre choix que de l’adopter pour leur survie. Dans certains cas, il a fallu investir des sommes d’argent considérables dans des infrastructures technologiques pour permettre la continuité des opérations. L’argument de l’impossibilité technique de travailler de la maison est donc mort avec l’arrivée de la pandémie : non seulement les travailleurs se sont adaptés à cette nouvelle manière de travailler, mais pour bon nombre d’entre eux, ils y ont pris goût!

Alors pourquoi ne pas remettre en question toute la structure de l’industrie et changer radicalement le monde du travail?

Après tout, le matériel a été acheté et les employés ont démontré que travailler de la maison les rendait plus productifs. Par ailleurs, les bienfaits sur la société sont innombrables : moins de trafic et donc moins de pollution, si les gens se déplacent moins, ils font une économie substantielle en termes de temps (jusqu’à 3 heures par jour pour certains), mais aussi financière (essence, stationnement, gardiennage des enfants, sans oublier les lunchs et les cafés).

Certains employés s’ennuieront peut-être des contacts humains et de l’aspect social qui accompagnent le travail. Certains encore auront besoin de garder leur vie professionnelle et personnelle physiquement séparées et préfèreront aller au bureau. Qu’à cela ne tienne. Pourquoi ne pas tout simplement donner le choix aux employés?

La pandémie aura eu au moins un aspect positif : modifier la structure des entreprises et faire évoluer le mode de fonctionnement de la société, et surtout, offrir une meilleure qualité de vie aux employés.

Les gens veulent du temps en famille et entre amis, ils veulent bien manger, bien consommer et ils veulent une planète moins polluée. Et cela doit passer par un changement dans la vie professionnelle. On a d’ailleurs vu un engouement jusque-là inédit pour les achats de maisons de campagne et de chalets. N’est-ce pas la preuve évidente d’une volonté réelle de s’éloigner des centres urbains trop pollués, bondés et tellement plus chers.

L’internet, la solution ?

La réponse à toutes ces questions se trouve là, juste sous nos yeux! L’INTERNET!
Il occupait déjà une place énorme dans nos vies, mais il est aujourd’hui au cœur de toutes nos activités. L’internet se présente même comme la solution miracle à tous nos problèmes : le travail à distance, les rencontres sociales en visioconférence, les loisirs et le magasinage en ligne sont devenus monnaie courante pour la plupart d’entre nous.

La majorité de la population a compris l’importance des achats locaux et d’encourager les entreprises d’ici. C’est une chance inouïe pour les entreprises québécoises de prospérer et de profiter de cette nouvelle manière de consommation.
La question est : comment se démarquer dans le vaste univers de l’internet?
Et la réponse est simple : en ayant des sites web performants, soigneusement référencés, qui sauront les faire ressortir du lot et les rendre visibles.

Aujourd’hui, quelle que soit la qualité des produits ou services que vous offrez, cela n’est malheureusement plus garant du succès de votre entreprise. Avoir un site web esthétiquement attirant n’est plus suffisant, il se doit d’être conçu pour capter l’intérêt de votre client cible, et suffisamment convivial et intuitif pour qu’il reste sur votre page. Mais en tout premier lieu, il faut que le client puisse vous trouver dans l’immensité d’internet, en clair, c’est votre positionnement sur Google qui détermine le succès de votre entreprise.
Le SEO (Search Engine Optimization) est une technique d’optimisation pour les moteurs de recherche. Il s’agit d’un procédé qui consiste à choisir les mots clés qui feront ressortir votre site web parmi les premiers dans les moteurs de recherche tels que Google.
Grâce au référencement naturel, le client qui recherche vos produits ou services pourra facilement vous trouver et donc vous choisir. Vous ne serez plus noyé dans l’immensité d’internet grâce aux mots clés, qui,  savamment choisis, vous offrent  une meilleure visibilité en ligne. C’est ce qu’on appelle le SEO. Le contenu web n’est pas le seul qui puisse être optimisé grâce aux techniques de SEO: vos articles de blogue, vos réseaux sociaux, vos vidéos présentées sur Youtube et tous les autres documents publicitaires qui se retrouvent sur le web peuvent également être optimisés et faire partie de votre référencement naturel.

En clair, faire appel à des stratégies de contenu optimisé grâce au SEO, notamment, est ce qui assurera le succès de votre entreprise.  Des rédacteurs de contenus spécialisés peuvent vous aider à obtenir des résultats incomparables, qui feront toute la différence au moment où vos clients vous chercheront sur Google ou tout autre moteur de recherche. La question qui se pose maintenant est de savoir si vous êtes prêt à faire passer votre entreprise à la vitesse supérieure.

Auteure: Emmanuelle Guidez